Chapitre 29 : Une belle femme

ShiroiRyu
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Chapitre 29 : Une belle femme

« Alors … Si nous commencions, Ric ? »

« Bien … Bien entendu … Mais je te rappelle que je suis un peu blessé et … »

« Ce n’est pas grave, je vais être douce … très douce avec toi. »

Elle me couche sur le lit et je la sens déjà qui grimpe sur moi. Je sens aussi ses pointes de chair qui viennent caresser mon torse. Elle n’a rien perdu … de son excitation et moi de la mienne. La preuve en est qu’elle retire rapidement mon caleçon pour commencer à prendre mon sexe en main. Je … AH !

« Toujours bien vif, n’est-ce pas ? Mais je tiens à te signaler … Nous ne ferons pas de positions abracadabrantesques pour … Quoi ? Tu as l’air surpris ? »

« Je ne m’attendais pas à entendre ce mot de la sorte … Enfin ici … »

« Roh … Espèce d’idiot … Tu te moques de moi, mon grand. Je vais donc me distraire avec toi, pour la peine ! »

AH ! Elle est … Elle est en train de le lécher ! Je sens sa langue qui passe le long de mon sexe ! Je sens aussi qu’elle est en train de retirer la peau ! Mon gland est nu ! Mais … AH ! Elle est en train de prendre mon sexe à deux mains.

« Quelle belle taille … Oh … Je te promets que je n’irai pas comparer et puis … Ce n’est pas le plus important … La seule chose que je désire, c’est que toi et moi, nous le fassions ensembles. Après toutes ces années de souffrance à t’attendre … »

« Arrêtons de parler, d’accord ? Qu’est-ce que tu en dis ? Je vais souffrir un peu mais c’est mieux que de continuer à discuter. »

Elle émet un petit rire puis elle se couche avec douceur sur moi. Je sens ses lèvres qui se collent aux miennes mais je réagis en posant mes mains sur son dos. Je continue le baiser, nouant ma langue avec la sienne alors que je fais quelques mouvements de hanche pour caresser son sexe avec le mien. Je l’entends gémir de plaisir avant qu’elle ne vienne me mordiller l’oreille, me soufflant :

« Je n’en peux plus, Ric … Je vais le faire maintenant … d’accord ? »

« Ne te fais pas de mal, hein ? Je ne veux pas que tu souffres à cause de ça. »

« Oh ne t’en fait pas, si c’est une souffrance, elle ne sera que passagère. On parle quand même de t’aimer, mon ange. »

Je sens une partie de son corps qui se relève … le haut en fait. Et puis … Je sens qu’avec sa main, elle tend mon sexe à la verticale. Mon gland à nu réagit aussitôt lorsqu’il sent les lèvres vaginales de Dyamia qui commencent à l’avaler … Je ressens une certaine … tension. Enfin, une petite difficulté à pénétrer … Je n’ose pas retirer le bandeau car je m’en voudrai à jamais de coucher avec une adolescente mais là … Comme je ne vois pas, je ne peux rien penser.

Puis subitement, mon sexe est complètement avalé … Je suis rentré complètement en elle ? Je … AH ! Ca serre assez fortement ! Elle éclate de rire mais … il y a quelque chose de différent. Il y a aussi quelques reniflements alors que je l’entends bredouiller :

« Hahaha … Qu’est-ce que c’est bon … C’est Ric en moi … Après toutes ces années … C’est tellement bon que mon vagin se contracte pour ne jamais le laisser s’enfuir. Hahaha … Snif … Qu’est-ce que c’est bon ! Je suis désolée, Ric. Je ne peux pas me pencher vers toi pour te recouvrir de baisers. Je ne suis pas assez grande … Il faudra attendre un peu. »

« C’est chaud ! C’est brûlant même ! J’ai l’impression que mon corps va fondre ! »

Je ressens une telle chaleur … comme si mon corps allait se consumer. Mais pourtant, rien de tout cela ne se passe. C’est juste … C’est juste différent. Tout mon corps réclame ce qui se passe et je tends mes mains en avant. Je sens les mains de Dyamia qui viennent les prendre avant de me les poser sur ses seins. Je les caresse, je les soupèse, je les malaxe, je les masse, je leur fait un tel traitement qu’elle souffle :

« Je ne savais pas que tu aimais t’attarder sur … eux … Ric. Ah … Mais continue. Continue, ça m’excite encore plus, mon amour ! »

Avec de telles paroles, la douleur n’existe plus. Je ne la ressens plus. Je ne fais que bouger mes hanches mais maintenant mes mains s’arrêtent de caresser ses fesses. Posées sur ses hanches, je la pénètre avec une telle rapidité que je me demande si mes blessures ne vont pas se rouvrir. Soudain, je me contracte avant de crier :

« Je … JE … DYAMIA ! »

« N’aies pas peur ! Je te veux tout en entier, Ric ! »

De toute façon, mon sexe n’aurait pas voulu quitter cet antre des plus chaleureux. Je sens que je me déverse en elle. J’ai honte de penser de la sorte mais je joui … Je joui plusieurs fois … Je sens que je me vide plusieurs fois en elle. Je continue même mes mouvements de hanche alors que la voix qui s’adresse à moi est maintenant différente.

« Mon amour ? Je crois que j’ai une petite surprise pour toi. »

Une surprise pour moi ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Car si ce n’était pas une surprise d’avoir autant de plaisir avec elle, je ne sais pas ce qui m’attend. Je sens juste que son sexe arrête d’envelopper le mien.

Et puis … Elle revient se coller contre moi. Là aussi, c’est différent, vraiment différent. Ses cheveux caressent bien plus mon corps … comme s’ils étaient plus longs. Et puis sa poitrine ! Là aussi, elle recouvre plus mon torse qu’auparavant.

« Qu’est-ce que ça veut dire ? Enfin … Dyamia ? C’est toujours toi ? »

« C’est toujours moi … Tu veux que je retire ton bandeau ou tu veux le faire par toi-même ? »

« Je vais le faire … Dyamia. »

Je suis un peu un peu anxieux … En fait, très anxieux même. Mais j’enlève le bandeau d’un seul et unique geste pour bien montrer que je n’ai pas à avoir peur … et puis … je reste bouche bée. Car oui … J’ai affaire à une femme en face de moi. Une femme de mon âge … Elle a des cheveux blancs … de très longs cheveux blancs qui camouflent sa poitrine … devenue aussi généreuse et imposante que celle de Calsidya ? Voire même un peu plus ! Mais ses cheveux vont jusqu’au nombril. Et elle a de magnifiques yeux bleus ! Deux saphirs ! Aussi parfaits que ceux de Séphyria. Mais ce que je remarque principalement, c’est surtout … les ailes … Six ailes orangées, couleur de feu, couleur du soleil … On dirait six branches d’une étoile représentant l’astre solaire.

« Alors ? Ric ? Est-ce que je suis à ton goût ? »

Je ne fais qu’hocher la tête positivement alors qu’elle revient se loger contre moi. J’ai bien … retrouvé Dyamia ? La véritable Dyamia, cette fois, non ? Mais je peux être heureux, très heureux … J’ai de la chance de l’avoir. La Triafa pourrait bien disparaître maintenant … ou presque. J’ai encore une vengeance à accomplir. Mais pour l’heure, ce n’est pas le moment de penser à cela. J’ai une femme à aimer.

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