Chapitre 3 : L’amour d’un monstre

ShiroiRyu
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Chapitre 3 : L’amour d’un monstre

« Qu’est-ce que tu fais là ? »

« J’apprends juste à aimer un homme différent des autres, c’est tout. Alors … alors … alors … cherchons voir comment fonctionne ton corps. »

Qu’est-ce qu’elle raconte ? Ce n’est pas drôle ! Je n’ai pas envie de rire contrairement à elle ! Elle se moque de moi et … AAAAAH ! Pourquoi est-ce qu’elle me caresse le ventre ?! C’est peut-être l’une des choses qu’il me reste encore en tant qu’humain et …

« Je me disais. Est-ce que tu es comme les reptiles ou autres ? Peut-être que ton sexe n’apparaît que si on commence à t’exciter ? Mais sinon, il doit être protégé. »

Qu’elle arrête ! Ce n’est pas drôle ! Pas drôle du tout ! Je n’ai pas envie de ça ! Ou alors, j’en ai envie ? Je tremble de tout mon corps alors que mes tentacules s’enroulent autour de Lania. Qu’elle arrête ça maintenant ! Je n’ai pas envie de blaguer !

« Car tu crois que je ne prends pas cela au sérieux, Ric ? HOP ! »

Elle claque des doigts et voilà que sa nuisette est au sol … Elle est juste dans cette culotte bleue ciel de dentelle. Non et non ! Je ne serai pas excité ! Je ne serai pas … AH ! Mais qu’est-ce que je fais ?! Mes tentacules commencent à parcourir son corps ! C’est horrible ! C’est vraiment dégueulasse ! Surtout que je vois que mes tentacules lui collent à la peau et ce liquide … je …

« C’est froid ! Et c’est gluant … mais c’est de toi donc je ne m’en fais pas. Ric ? Tu ne remarques pas que mon corps te désire ? »

C’est juste n’importe quoi. C’est juste mais … je le sais … Elle tremble contre moi. Elle se colle contre moi … elle m’embrasse partout sur mon visage et mon torse. Ce n’est même pas de la perversité, juste de l’érotisme. Elle m’excite pour me montrer qu’elle n’a pas peur de mon corps mais ça ne change rien.

« Surprise ! » s’écrit-elle en rigolant alors que je vois sa main qui descend vers mon corps de Tritosor. AH ! Non ! Ce n’est pas ça qu’elle touche ! Je … j’ai encore un sexe ? Il se trouve entre le bas de mon ventre et le début du corps de Tritosor. Il est bien présent, il a l’air horrible comme ça. Ce n’est même pas un sexe humain. Il est peut-être long mais ce qui se trouve au bout n’a rien … d’un gland humain. Le bout n’est pas arrondi.

« Arrête … arrête, Lania. Même ça, ce n’est pas … »

« Il est plutôt mignon, non ? Et par contre, je ne m’attendais pas à une telle taille. Tu vois que tout n’est pas désavantageux, non ? »

Elle se moque de moi ? Où est-ce que … AAAAAH ! Elle n’a pas hésité à le mettre en bouche ! Elle n’a même pas peur de ça ? Comment est-ce que … Mes tentacules ! Non ! Je n’arrive même pas à contrôler mon corps ! Ma main de Maganon se pose sur son crâne pour tenter de l’aider à faire ce qu’elle a commencé bien que je ne peux pas l’agripper. Mais il n’y a pas que ça. Mes tentacules … mes tentacules parcourent son corps.

Mes tentacules lui arrachent le dernier morceau de tissu. Je vois ses yeux qui s’ouvrent avec surprise avant qu’elle ne retire ses lèvres. Elle fait un petit sourire avant de me donner une petite tape du doigt sur le front de métal. Je ne ressens même pas une douleur.

« Et alors ? Tu es si pressé que ça, Ric ? Mais nous avons toute la nuit, n’est-ce pas ? Je me demande ce que les pokémons oiseaux penseront de nous s’ils nous voient. »

Je ne cherche même pas à savoir ça. Pas du tout même. Je ne fais que regarder son corps nu. Elle a une peau humaine, non pas blanche comme celle d’une Gardevoir. C’est vraiment juste un corps magnifique. Un corps sur lequel j’ai fantasmé il y a de cela des mois. Un corps comme lequel je m’étais imaginé lorsqu’elle était encore à moitié pokémon.

« Et tout ce corps est à toi, Ric. »

A moi … non. Il n’est pas à moi, je le sais parfaitement. Je sais parfaitement que ce n’est pas le cas ! Je ne veux pas croire ce qu’elle dit ! Alors pourquoi elle pousse un petit cri de surprise et de plaisir ? Pourquoi est-ce que mes tentacules commencent à l’enserrer, rendant cette scène digne des pires animations jipenaises ?

Mes tentacules qui caressent ses hanches, sa poitrine, passant sur ses tétons mais aussi son entrejambe, se glissant bien entre ses cuisses. Je sais qu’il n’y a pas que mes tentacules qui sont trempés. Loin de là même. Je tente de déglutir, de m’exprimer mais elle me colle ses lèvres contre les miennes, commençant à glisser son corps contre le mien. Puis soudainement, elle s’arrête. Je la sens … je la sens à cette hauteur.

« Ric ? J’espère que tu ne le regretteras pas car moi, je vais ancrer ce moment dans ma mémoire. Oh ! Je … Je ne me rappelais pas … que la première fois … faisait aussi mal. Je t’avais dit que ce corps était pourtant … vierge. »

Elle guide le tout. Elle ne s’interrompt pas alors que je sens cette chaleur envahir mon sexe. C’est si chaud et doux en elle. Un peu comme si tout son corps avait décidé de transférer sa chaleur en moi par ce biais. Je … je me sens apaisé. Mes tentacules entourent ses bras et ses hanches alors que mon corps commence à faire quelques mouvements réguliers. Et je me sers de me tentacules pour régler la vitesse. Je l’entends feuler de bonheur tout en criant :

« J’ai attendu … j’ai attendu ça depuis tellement longtemps ! Depuis le jour où j’ai rencontré cet homme qui m’a sauvé la vie ! Qui m’a tiré de là ! OUIIIIIIIII ! »

Ouiiiiii ? Qu’est-ce que ? Je vois tout son corps qui se statufie, sa poitrine arrogante et généreuse pointant en avant. Pendant quelques secondes, elle ne respire plus, elle ne bouge plus puis enfin, je le vois qui ouvre la bouche, un peu de salive s’en écoulant en même temps que sa langue ne sorte. Elle me donne un nouveau baiser, plus profond, plus chaleureux, plus ardent. Il doit bien durer deux bonnes minutes avant qu’elle ne dise :

« Continuons, d’accord ? Je n’ai jamais ressenti une telle chaleur. Ric ! »

Elle crie mon nom avant de recommencer les mouvements, sans que je ne m’en mêle. Elle n’a quand même pas eu … ce que je crois hein ? Même quand j’étais humain, je n’y arrivais que très rarement. Je ne suis pas doué pour ça, pas du tout même.
Et là ? Avec Lania ? Du premier coup ? Et avec son sang qui dégouline ? Je … je … oh … je crois que je ne devrais pas réfléchir plus longtemps à tout cela. Je devrais faire pareil qu’elle, me laisser emporter par le désir. Ce corps me permet de la rendre folle de joie et de désir. Si seulement, je peux faire pareil avec Séphyria, Dyamia, Calsydia, Tritani et Céra …

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