Chapitre 383 : Pour le salut de ton âme

ShiroiRyu
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Chapitre 383 : Pour le salut de ton âme

« … … … Et pourquoi est-ce que tu ne me l’as pas dit plus tôt ?! » répondit Samus avec énervement alors qu’ils se dirigeaient tous vers l’appartement.

« Car moi-même, j’ai un peu de mal à le croire, voilà tout. Ce n’est pas si compliqué que ça pourtant … Pas du tout même mais … Voilà … » dit le jeune homme aux cheveux blancs avant de passer une main dans ces derniers d’un air gêné.

« D’accord, c’est bon, je te pardonne. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix à la base. Mais quand même … Qu’est-ce que tout ça veut dire ? »

« Ils ont utilisé Arceus et ils le payeront de leurs vies ! Je ne leur pardonnerai pas cette fois ! »

Cette fois ? En fait, c’était le contraire. Depuis le début, il ne leur pardonnerait jamais ce qu’ils avaient fait. Rien du tout … Rien de rien … Ils allaient tous mourir. Aucune pitié, aucun pardon … Rien de rien ! Ils arrivèrent dans l’appartement, le jeune homme remarquant finalement les sacs qu’Oria tenait.

« Euh … Au passage, c’est quoi tout ça ? Ce sont vos … »

« C’est un secret grand frère ! Ce soir va être le grand soir pour moi, hihihi. » dit-elle, se léchant les babines alors qu’il tremblait légèrement. Il reprit aussitôt la parole :

« Sincèrement, tu veux pas reporter cela à plus tard ? Je n’ai VRAIMENT pas la tête à ça, Dorothéa … Vraiment pas … Je ne sais pas ce qui se passe avec les trois dieux-dragons, les pirates de l’espace vont attaqués de partout sans même crier gare … »

« NON ET NON ! Ca ne sert à rien de se cacher ! Tu feras ce que je te dis et tu as intérêt à m’écouter avant que je ne devienne méchante, d’accord ? » répondit la jeune femme aux cheveux tressés de noir, tendant les sacs à Samus avant de se mettre à quelques centimètres d’Orion, reprenant la parole : « Dis-toi qu’avec moi, tu oublieras tous tes problèmes, grand frère. Ca sera un bon moyen pour évacuer tout ce que tu as en toi. »

L’intonation était plus que perverse, le faisant rougir violemment alors qu’il détournait le regard. Non … Non … Il ne voulait pas mais … Bon … Son corps la réclamait. Elle s’approcha de lui, lui murmurant dans le creux de l’oreille :

« Tu pourras te confesser à ta sœur … »

« Que … Que … Quoi ?! Qu’est-ce que tu as été acheté encore ?! Me dit pas que tu as osé faire une telle chose ?! » répondit le jeune homme avec un peu d’effroi.

« Tu verras bien hihihi ! Allez, tiens … Un petit baiser en guise de prémices. » souffla t-elle avant de coller ses lèvres contre sa joue, lui donnant un petit coup de langue dessus. Cette nuit … Cette nuit … Il sentait qu’il allait vraiment la regretter comparée aux deux autres.

Car tout d’abord, c’était lui qui avait décidé pour les deux autres personnes et là … Aujourd’hui, c’était Oria qui avait pris les devants … Il était inquiet … Très inquiet … Et Samus ne semblait pas plus gênée que ça, c’était peut-être ça le pire ? Qu’elle s’en fiche ?

Pourtant, la nuit était rapidement tombée tandis qu’il avait embrassé sa femme avant qu’elle ne se couche. Il avait quitté la chambre, remarquant qu’Oria n’était pas dans son lit. En fait, elle se trouvait même … près de la porte d’entrée ? Qu’est-ce que ça voulait dire ? Il ne la voyait que peu, la jeune femme aux cheveux noirs s’étant emmitouflée dans des vêtements.

« Suis-moi … Nous allons sur le toit, je suis sûre que ça sera bien mieux … »

« Qu’est-ce que tu veux faire ? Tu n’as quand même pas … »

« Si si … J’ai déjà tout préparé … Enfin … Tout … On aura très froid mais chaud en même temps hein ? Tu ne trouves pas cela excitant ? »

Pas le moins du monde. Pourtant, il commença à la suivre, les deux personnes quittant l’appartement pour se rendre sur le toit. Là-bas, elle avait déjà déposé une épaisse couverture de laine sur le sol marbre ainsi qu’un matelas … Quand est-ce qu’elle avait fait ça ?! Quand est-ce que … C’était vraiment saugrenu !

« Y a un peu de vent mais la couverture ne partira pas et le matelas non plus. Nous pouvons donc commencer ce que je voulais faire. »

« Et qu’est-ce que tu voulais … »

Il s’arrêta alors qu’il se retournait pour l’observer, la jeune femme ayant fait tombé des morceaux de tissu. C’était encore pire … que d’être nue … C’était encore pire que d’être peu habillée … C’était pie que tout … Comment est-ce qu’elle avait osé faire ça ?

« Alors, qu’en penses-tu ? Je me suis renseignée un peu et dans certaines religions, les femmes vierges sont habillées ainsi … pour toujours servir un dieu. »

Une longue soutane noire … Et puis ce couvre-chef … AH ! NON ! Et puis … Et puis … C’était quoi ça ?! Au niveau de la poitrine, il y avait une large ouverture en croix de Dieu sur son décolleté … et elle ne portait rien dessous !

« Je me suis dit : pourquoi ne pas remplir un petit fantasme à mon grand frère ? »

« JE N’AI JAMAIS EUT DE FANTASME DE CE GENRE ! » hurla t-il avec véhémence bien qu’il ne savait plus du tout quoi dire. Il était perturbé, très perturbé même. Plus que perturbé … Plus que tout … Il ne comprenait pas, il ne comprenait plus.

Mais … Tout ce qu’il voyait … était une nonne … au regard émeraude … pervers et rieur … mais doux et tendre en même temps. Avec lenteur, elle passa à côté de lui, se mettant à genoux sur le matelas tout en tapotant devant elle pour lui demander de venir.

« On va discuter un tout petit peu, Orion, d’accord ? »

« Je ne sais pas ce que tu manigances … Oria … mais ça ne me plaît pas … »

« Tu verras très bien ce que je manigance plus tard … Alors installes-toi et laisse-toi faire d’accord ? » répondit-elle alors qu’il s’exécutait avec un peu de réticence.

« Et voilà … Et maintenant ? Qu’est-ce que tu veux que je fasse comme embrouille encore ? »

« Plutôt que tu me dises tout ce que tu as sur le cœur … On va dire que je suis celle à qui tu vas te confier non ? » dit-elle avec une étrange douceur alors qu’il murmurait :

« Même pas en rêve … Je suis désolé mais c’est vraiment tordu cette fois. Là, je refuse catégoriquement, Oria. C’est sans moi … »

« Tu n’as pas envie d’en parler ? Je sais parfaitement que tu n’as pas envie de coucher avec moi … Peut-être que ce fantasme était trop poussé en fin de compte ? »

« Et tu ne le remarques que maintenant, Oria ? C’est complètement saugrenu ! Et qu’est-ce que Samus a acheté pour elle ? Déjà qu’elle est enceinte et … »

« Je ne peux rien dire à ce sujet … Orion … Grand frère. » souffla t-elle avant de se rapprocher de lui, le prenant dans ses bras pour le coller contre sa poitrine. Et … Et zut ! Voilà que son corps réagissait aussitôt ! Il la serra violemment contre lui, essayant de cacher son érection bien que c’était le contraire qu’il était en train de faire.

« Et bien … Je ne savais pas que … les élues d’Arceus te plaisaient autant, grand frère … Mais avant, tu es sûr de ne pas vouloir me parler ? De tout et de rien, ça ne me dérange pas. »

« Bon, je vais jouer le jeu alors. » répondit-il alors qu’elle le retirait de sa poitrine, le regardant avec affection. Tant mieux alors … C’était une bonne mentalité.

Pourtant, dix minutes plus tard, il était sur les genoux d’Oria, celle-ci caressant ses cheveux blancs avec un sourire tendre aux lèvres. Il parlait vraiment de tout et de rien… Puis peu à peu, il se confessait réellement à elle. Il lui disait à quel point il était anxieux pour ses sœurs, pour sa pokémon, pour les dieux-dragons, pour Arceus … Il était mortifié à l’idée de savoir qu’ils étaient tous et toutes en danger.

« Et puis … Cette histoire sexuelle aussi … Je ne sais pas … J’en ai envie … J’en ai bien plus envie qu’auparavant mais je veux rester fidèle à Samus. »

« De cœur et de corps, c’est une bonne chose, mon fils. Mais des fois, il faut donner sans recevoir. C’est ainsi qu’elle voit les choses. Depuis qu’elle est née, elle a vécu pour donner. Elle n’a jamais pensé que recevoir était la première chose qu’elle voulait au fond de son cœur. Si tu veux l’aimer réellement, tu te dois de respecter ses décisions. »

« … Je peux ouvrir les yeux, Dorothéa ? » demanda t-il avec lenteur avant de reprendre : « Car j’ai l’impression que deux choses me perturbent, me réchauffent et me gênent … Enfin bon … Je me sens réellement apaisé … Je gardais ça tout au fond de moi … »

« Tu sais que ça fait une bonne heure que tu parlais ? » répondit la jeune femme en émettant un petit rire cristallin. Une heure ? Une heure ? Il voulut se relever mais percuta la poitrine de la jeune femme, retournant se coucher sur ses genoux avant d’ouvrir les yeux. Deux monts camouflés dans la tenue noire de nonne … Deux monts aux pointes tendues par le froid. Elle en avait terriblement envie hein ? Elle ne le cachait pas … Elle ne le cachait pas du tout. Et pourtant … C’était bizarre mais là encore, il voulait le faire.

Il pensait qu’il était finalement temps. Il plaça ses deux mains en direction du ciel, les posant sur la poitrine de la jeune femme qui vint gémir. Tout de suite, elle le coucha sur le matelas et la couverture, un grand sourire aux lèvres. Hors de question qu’il bouge ! Elle lui demanda de rester immobile tandis qu’elle se retournait, plaçant sa tête près du jogging du jeune homme pour le retirer.
Elle vit un sexe de belle taille, déposant un baiser dessus avant de lui demander de relever sa soutane. Elle était nue … complètement nue sous celle-ci … Qu’est-ce qu’elle allait faire ? Elle glissa le pénis d’Orion sous la soutane, le jeune homme étant rapidement pris de spasmes de plaisir, cherchant à comprendre ce qu’elle faisait.

Elle … Elle avait coincé son sexe entre sa poitrine, sous sa soutane mais surtout … Surtout … Son sexe sortait parfois de sa poitrine, le gland tendant au bout … et elle donnait des petits coups de langue dessus ?! Mais … Mais … Où est-ce qu’elle avait appris une telle chose ?!

« C’est spécial, n’est-ce pas ? Je suis sûre que tu allais aimer, grand frère ! »

« … … … Comment est-ce que tu connais ça ?! C’est pour ça cette tenue ?! »

« Tu comprends enfin ? J’avais envie de te dominer aussi … C’est pour cela que je t’ai affaibli mentalement, mettant à mal tes remparts psychologiques pour que tu sois tout à moi ! »

Le pire dans cette affaire est que cela semblait marcher. Il ne se sentait même pas la force de riposter. Il se laissa faire pendant quelques minutes avant qu’un jet blanc ne vienne sortir de son sexe, aspergeant le visage d’Oria en même temps que sa soutane. Celle-ci se lécha les lèvres, reprenant la parole :

« Je crois qu’il est temps de passer à l’acte non ? Tu n’as pas remarqué que … »

« Je préfère ne pas en parler, Oria. Je le sens parfaitement sur mon t-shirt. » répondit-il, un liquide s’étant écoulé des lèvres vaginales de la jeune femme.

Elle allait le dominer ? Soit ! Mais pas sans lutter. Lorsqu’elle retira la soutane, se retrouvant complètement nue, elle grelotta de froid, ses tétons étant durcis par le vent et l’excitation. Lui ? Il n’était plus qu’en T-Shirt mais ses yeux devinrent complètement blancs avant qu’il ne prenne le bras d’Oria, la couchant avec violence sur le matelas. Ses yeux reprirent rapidement une couleur normale tandis qu’il disait :

« Alors, alors, alors … J’ai crut très mal entendre … Quelqu’un voulait dominer l’autre ? »

« Tu penses que je vais rester de marbre, grand frère ? » répondit la jeune femme, plaçant sa main droite sur ses bourses avant de serrer avec force, le jeune homme émettant un cri strident avant d’empoigner son sein droit, le malaxant follement.

« Si tu commences comme ça, ça va très mal finir, Dorothéa ! »

« Je n’attendais que ça, Théodore ! Tu veux me maîtriser ? Il va falloir faire bien mieux ! »

« Je me doutais bien qu’avec toi, la méthode douce ne marcherait pas ! »

Sans aucune réticence, il venait de la pénétrer, son hymen se déchirant en laissant s’écouler un flot de sang, la jeune femme ouvrant la bouche pour pousser un cri strident. HEY ! Mais merde ! Elle allait quand même se taire ! Ils étaient en plein air ! Il vint l’embrasser, la jeune femme nouant sa langue avec la sienne alors qu’il prenait un rythme effréné.


C’était lui ou alors ce qu’il ressentait autour de son sexe semblait coincer ce dernier dans le vagin de la jeune femme. AH ! Même son corps ne voulait pas le lâcher ! Elle luttait hein ?! Il retira ses lèvres, venant s’amuser à la prendre sur le côté avant de jouir des plus rapidement en lui. Déconfit, il retira son sexe pour se coucher à côté d’elle, bafouillant :

« … … … Là, je suis vraiment désolé … Oria … Je ne pensais quand même pas que … »

« Ce n’est pas de ta faute mais tu sais pourquoi je nous ai fait dormir ici ? »

« Non … Tu vas sûrement m’expliquer, je parie. » répondit le jeune homme aux cheveux blancs alors qu’elle se couchait sur lui, frottant sa poitrine et tout son corps contre le sien.

« Car je ne compte pas m’arrêter à une fois … Je te l’ai promis non ? Tu n’as pas regardé sous la couverture à côté du matelas ? » demanda t-elle alors qu’il hochait la tête d’un air négatif.

Elle se déplaça un peu, montrant un livre relié … de couleur rose. Elle ouvrit ce dernier avant de le lui tendre, désignant plusieurs images qui le fit rougir violemment.

« Tu ne veux quand même pas essayer ça ?! »

« Et bien sûr que si … Nous allons prendre tout notre temps, je te le promets. Mais tout d’abord, je me demandais comment cela serait si je me mettais à quatre pattes. »

« … … … Est-ce que le fait de t’avoir remplie ne te fait pas changer ta personnalité ? »

« Ca semble être à retardement, c’est dommage, n’est-ce pas ? » répondit-elle avec un grand sourire alors qu’elle recommençait à le branler avec vivacité, le jeune homme gémissant de plaisir, reprenant une taille plus qu’honorable.

« Pourquoi est-ce que tu fais tout ça, … Dorothéa ? »

« Car peut-être que demain, je serai comme Orié et Héméra, je n’en aurai plus envie. Je suis sûre que je t’aimerai normalement … et donc, j’aurai énormément de remords envers Samus … Mais là, je veux en profiter un maximum ! Je ne suis pas stupide au point de faire comme Héméra et Orié … Je veux coucher avec toi et je continuerai ! Alors tu as intérêt à accepter tout ce que je te demande ! »

« … … … Tu es vraiment une idiote. » répondit-il avec lenteur.

« J’aime mon frère, je suis une femme qui commet un adultère et de l’inceste alors je pense que je suis déjà partie trop loin pour ce genre de réflexions. » répliqua t-elle sèchement.
Bon … Il se rendait à ses arguments. Elle voulait juste pour une nuit … complètement. Il poussa un léger soupir, venant l’embrasser avant de recommencer leur petit jeu sexuel.

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