Chapitre 376 : Leçon sexuelle

ShiroiRyu
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Chapitre 376 : Leçon sexuelle

« Samus ? Ce soir et les prochains soirs, je vais dormir au salon si ça ne te dérange pas trop. A cause de mes problèmes de phazon et toutes ces choses … Je vais essayer de lutter contre lui…  encore une fois … Ca devient vraiment oppressant mais bon … »

« Hum … Est-ce que tu vas coucher avec tes sœurs ? » demanda t-elle sur un ton neutre alors qu’ils étaient tous les deux dans la chambre conjugale.

« Je pense que oui … Je vais m’y forcer car je n’en ai guère envie mais tant que j’aurai cette saleté de phazon en moi qui me possède pendant que je dors, je continuerai ! »

« … … C’est seulement le phazon, n’est-ce pas ? Rien d’autre ? » demanda t-elle alors qu’elle savait au fond d’elle qu’elle avait déjà accepté cette idée il y a plusieurs jours de cela.

« Rien que le phazon … Rien d’autre ! Je ne suis pas perturbé au point de vouloir coucher avec mes sœurs ou une pokémon hein ? Je sais que je suis franchement bizarre depuis que tu me connais mais tu peux me faire confiance au sujet de l’amour. Celui que je te porte est plus fort que tout. Par contre, avec ce phazon dans mon cerveau, il faut que je pense à lutter contre moi-même et ce désir … Samus … Je t’aime vraiment … »

« Hum … Mais tu dis cela avant d’aller faire de l’inceste et de la poképhilie ? »

« … … … » Il ne lui répondit pas, baissant uniquement la tête. Elle émit un petit rire, venant le serrer contre sa poitrine grossie par le fait qu’elle était enceinte.

« Allez … Ne t’en fait pas … Ca me fait du mal … Mais disons que c’est une étape obligatoire pour notre bien à tous les deux non ? »

« Samus … Si … Si … Si tu veux … Tu peux tenter de trouver un remplaçant pour … »

« Hors de question, tu es l’homme que j’aime et … »

« Et pourquoi tu acceptes que MOI, je couche avec d’autres femmes ?! »

« Car tu es malade, Orion … Car tu es malade … Si tu n’avais pas été atteint par le phazon, dis-toi une chose. Tu me trompes, je te coupe le sexe et les bourses et je t’ouvre les entrailles pour te faire avaler ton propre estomac. »

Il la regarda longuement, lui faisant un petit sourire avant de se jeter sur elle, la couchant sur le lit tout en murmurant :

« Même si … Je ne peux plus … rien faire de profond … avec toi … J’ai quand même mes doigts non ? Tant que ce n’est … »

« Pas de pénétration ? Aucun souci … Et dis-toi aussi que c’est non pour tout ce qui a un rapport avec le fait … d’avaler. » murmura la jeune femme alors qu’il rougissait légèrement. Bien entendu … Si c’était d’un côté, cela voulait dire aussi de l’autre. Ils se regardèrent longuement avant de s’embrasser. Au moins, sa salive n’était pas infectée donc ils pouvaient faire cela aussi longtemps qu’ils le désiraient.

« … … Tu en as envie, Samus ? » demanda t-il avec lenteur.

« J’en ai envie … Mais je me retiendrais … » murmura t-elle tendrement alors qu’il commençait déjà lui retirer sa tenue bleue moulante, l’ouvrant au niveau du col. Enfin, il essayait mais comme d’habitude, c’était plutôt elle qui devait … l’aider. Elle était capable de faire disparaître sa combinaison d’un coup ou alors de le faire patienter en l’ouvrant. Hum … Devant le regard intéressé du jeune homme … Elle allait peut-être ne pas trop faire durer le jeu non ? Toute la partie haute de sa tenue disparut, laissant place à sa poitrine gonflée par le désir et aussi par le bébé en elle.

« Hum… Tu veux bien dire Camion ? »

« Hors de question, Orion. Je suis tombée dans le panneau une fois. Ca ne sera pas possible une seconde fois. Je ne suis pas stupide quand même. »

« Allez ! S’il te plaît ! » murmura le jeune homme, ses doigts déjà prêts à s’amuser avec elle.

« … … … D’accord. Camion ? » dit-elle en poussant un profond soupir.

« Pouet pouet ! » répondit-il en venant pincer les deux tétons de la jeune femme, ces derniers durcissant rapidement alors qu’elle gémissait. Il posa rapidement ses lèvres sur l’un des deux, donnant des coups de langue dessus avant de le suçoter. L’une des mains s’attardait sur l’autre sein tandis qu’elle murmurait :

« Tu n’auras pas de lait … Orion … Ce n’est pas pour maintenant … »

« Je le sais parfaitement … Il va me falloir être patient … Quelques mois … hein ? »

Héhéhé … Elle lui souriait, leurs regards se croisant avec tendresse tandis qu’il reprenait ses petits jeux érotiques. Son autre main disponible glissa le long du ventre, la jeune femme faisant disparaître le reste de sa tenue bleue pour la mettre complètement nue. Elle était belle … et désirable … avec son petit ventre rond de trois mois … Terriblement belle … C’était elle qu’il aimait … Et non pas une autre.
Il se coucha sur elle, ses doigts venant caresser son bouton d’amour alors qu’elle émettait un petit feulement. Voilà que lui aussi s’excitait … En fait … Elle était même terriblement excitée hein ? Une femme enceinte pouvait se mettre facilement dans tous ses états, ce n’était pas rare du tout. Loin de là même …

Ses doigts caressèrent maintenant ses lèvres vaginales tandis qu’il retirait les siennes pour venir l’embrasser, nouant leurs deux langues. Elle était totalement nue alors qu’il était lui-même complètement habillé. Il restait ainsi pour une unique raison. Avec ce qu’il avait appris, il ne voulait pas prendre le risque de lui faire du mal.

Une vingtaine de minutes plus tard, il était en sueur, ses vêtements trempés tandis qu’elle était dans le même état. Il restait couché sur sa dulcinée, l’embrassant avec affection et tendresse tandis qu’elle le regardait. Il s’endormit tout contre elle, la jeune femme lui soufflant de ne pas s’en aller pour la journée … Et oui … Ils avaient fait cela en pleine journée … Mais il avait voulut une telle chose.

« C’est l’heure de la leçon sexuelle ! » s’écria Oria avec une certaine joie dans le cœur tandis qu’il passait une main sur son front. Elle avait été obligée de le crier hein ? La soirée était rapidement tombée et Samus s’était couchée après un baiser de la part du jeune homme.

Elle avait été si exténuée après ce qui s’était passé cette après-midi … Il était un peu fier … Mais là, il ne l’était pas du tout. Il avait ses deux sœurs en face lui, Héméra entre elles. Toutes portaient leurs tenues habituelles. Héméra avait même … reprit une poitrine plutôt généreuse, comme celle de la première fois où elle lui avait parlé de maître …

« Bon … On en est là pour toute la nuit et … »

« Alors, qui est-ce que tu vas choisir pour ce soir ? » demanda Oria d’une voix neutre.

« Hein ? Comment ça ? Qui je vais choisir ? »

« Et bien … Tu vas prendre la douce Héméra, l’impétueuse Oria ou alors la fascinante Orié ? »

« Oria, arrête ça tout de suite, j’ai l’impression d’aller faire mon marché chez les prostituées. Donc on va éviter ça … »

« Hum … D’accord, mais est-ce que tu veux la formule trois en un ? » demanda t-elle une nouvelle fois alors qu’il haussait un sourcil, jetant un regard à Orié. Celle-ci hocha la tête, poussant son grand frère sur le canapé avant de le forcer à tendre ses bras. Les deux femmes vinrent se loger contre lui, le forçant à ouvrir les cuisses en bloquant ses deux jambes avec leurs pieds. Qu’est-ce … Qu’est-ce … La Gardevoir se logea sur son vente, rouge de gêne avant de bafouiller avec lenteur :

« Je … Je … Théodore … J’espère que je ne suis pas trop lourde. »

« Tu es aussi légère qu’une plume. Si ça ne tenait qu’à moi, ça serait avec toi que je le ferai mais bon …Visiblement, y en a certaines qui abusent carrément. Je peux savoir où c’est une leçon et non une orgie que vous êtes en train de faire ?! »

« Et bien … Ce n’est pas une orgie mais de l’inceste et de la poképhilie, rien d’autre. Grand frère … Il va falloir sérieusement régler ton problème, c’est cela ? Mais est-ce que tu as une idée de comment faire ? Car je te vois mal nous résister très longtemps. Peut-être que c’est plus une tentative éhontée pour … coucher avec nous ? »

« Même pas en rêve, Oria. Je vais juste voir jusqu’à où je peux me retenir … Mais je vous préviens … tout de suite … Je risque de vouloir vous pénétrer. Or comme vous êtes vierges, cela va faire mal … De l’autre côté, comme vous êtes phazonnées, vous n’avez pas à craindre au sujet … de … enfin … »

« Ton sperme. » murmura Orié, ne parlant guère plus autant qu’avant depuis qu’Oria était arrivée. En fait, elle se faisait même très discrète. C’était assez mignon en un sens … Sauf quand elle parlait ainsi. Hum … Mais … Bon … Il avait deux femmes et une magnifique Gardevoir féminisée … Qu’est-ce qu’il pouvait rêver d’autre ?

« Euh… Je vois de quoi je pourrai rêver … Avoir les mains et les jambes libres. »

« Hors de question … Grand frère … Par contre … Si nous devons réellement le faire … Il vaut mieux que l’on soit nu non ? » dit Oria, libérant la main du jeune homme alors que celui-ci murmurait avec une extrême lenteur :

« Oui … Oui… Je n’y arrive pas les filles … Je n’y arrive vraiment pas … Je ne veux pas … Je crois que c’était une mauvaise idée … Je voulais vous utiliser pour lutter contre le phazon, ne me préoccupant même pas de vos sentiments pour me vider les bourses et commencer ainsi à me purger … Mais non … Je ne veux pas … Car c’est aussi honteux envers vous qu’envers moi. Non … Je ne veux pas du tout … »

« Oh … Nous utiliser comme des objets ? C’est bien ça ? Héméra, fais-le. »

Oria avait parlé sur un ton dur mais gardait son sourire. HEIN ?! Il se retrouva soudainement, son sexe flasque apparaissant. Il n’avait pas de veines blanches tandis qu’Orié observait celui-ci avec un intérêt des plus … grands. Héméra ne le voyait pas, ayant ses deux jambes posées autour du jeune homme, faisant quelques mouvements néanmoins sur celui-ci. Quel … Quelle idiote ! Elle était déjà rouge de gêne alors qu’il savait très bien ce qui lui touchait le ventre sous cette robe blanche … Elle frottait sa vulve contre son ventre et avec le liquide qu’il sentait s’écouler dans son nombril … Elle était drôlement excitée.

Hum ? Il sentait que sa main venait d’être posée sur quelque chose de doux et assez … généreux. Encore qu’il sentait le sein droit d’Oria dans sa main, il se tourna vers elle, celle-ci ayant un grand sourire. Elle reprit sa main, la rentrant dans sa robe pour qu’il puisse agripper le mamelon directement. Elle poussa un petit gémissement de plaisir alors qu’il commençait à caresser le téton qu’il sentait déjà durci.

« … … Oria ? Tu es vraiment … excitée par moi ? »

« Hum … Par toi, je ne sais pas ? Peut-être par ton phazon en fin de compte ? »

« … … … … D’accord. AH ! Orié ! Doucement ! »

La jeune femme aux couettes noires avait déjà quitté son bras pour se mettre à quatre pattes, tenant son sexe dans ses mains. Elle avait toujours son short et son maillot noir. Et … Et … Et zut … Elle donnait un petit baiser sur le sommet du sexe, commençant à retirer la peau sur le gland avant de sortir sa langue. Un petit coup et il tressaillit.

« Orié … Ah … Ah … Calme … Il ne faut pas … »

« Si c’est le phazon qui te pose problème, grand frère … Ca ne me dérange pas du tout … Moi, j’ai toujours été prête à te recevoir de toute façon. »

… … … Même si c’était sa sœur … Elle avait rarement dit des choses aussi mignonnes. Bon … Il devait faire un effort de son côté ! Il … Il … Il dénoua le maillot dans le dos d’Orié, mettant à nue sa poitrine plus petite que celle de la Gardevoir et d’Oria mais toute aussi délicieuse. De l’autre côté, elle déboutonnait d’une main son short en jean, invitant le jeune homme à le lui retirer. Hum … Oria le regarda longuement, lui retirant sa main de son sein avant de s’éloigner d’eux. Oria comme les autres s’arrêtèrent, surpris par la réaction de la jeune femme aux cheveux bouclés noirs.

« Euh … Oria … Il y a un problème ? » demanda le jeune homme.

« J’ai l’impression que l’une d’entre nous attend depuis bien plus longtemps. Je passe mon tour pour ce soir … De toute façon, il y aura bien d’autres soirées … Héméra, libre à toi de les laisser ou non. » répondit Oria, se mettant à l’autre bout du canapé, fermant les yeux.

« Euh … Et bien … Théodore ? Tu me le feras aussi hein ? » demanda Héméra, un peu surprise par la réaction d’Oria. Elle allait faire de même. Elle ne voulait pas s’immiscer dans ce genre de choses et puis … C’était mieux quand l’attention était concentrée sur une seule personne. Elle se pencha en avant, tendant ses lèvres vers Orion avant de venir l’embrasser. Puis subitement, elle disparut, se téléportant sur son matelas où elle dormait. Il … Il … ne restait plus qu’Orié et lui … Orié qui était presque nue, lui totalement. Elle était aussi rouge que lui, tapotant le bout du gland avant de murmurer :

« On est seuls … grand frère … Tu veux quand même continuer ? Ou tu veux comme … »

« La dernière fois ? Non merci … Et ne m’appelle pas comme ça … Sinon, je sens qu’on ne va jamais avancer … » balbutia t-il, retirant avec lenteur le short en jean de la jeune femme, laissant voir sa vulve détrempée, entourée par une fine touffe de poils pubiens noirs.

« … … … … »


Elle ne dit plus aucun mot, passant juste ses jambes de part et d’autre du jeune homme bien qu’elle avait sa tête à hauteur du gland. Elle … Elle voulait un 69 ? Rien que le fait d’y penser … Il se tendit subitement, la jeune femme n’attendant pas avant d’engouffrer le sexe d’Orion dans sa bouche, le caressant de sa langue à l’intérieur.


Co… Comment … Comment est-ce qu’elle savait faire ça ?! Ah … ah … Il ferma les yeux, sentant déjà son sexe qui tremblait dans sa bouche alors qu’il sortait sa langue. Il donna quelques coups sur les parois vaginales, ses yeux s’ouvrant, complètement blancs. Non … Non … ET NON ! Les veines blanches apparaissaient sur la totalité de son corps, se glissant jusqu’à sa verge, Orié continuant son travail, les yeux grands ouverts. Elle était … si heureuse … Elle n’allait pas s’arrêter maintenant … Pas du tout …

Il devait se calmer … Il devait se calmer … Il devait se … Hein ? Sa langue ne vint plus jouer avec le vagin d’Orié, celle-ci s’étant arrêtée dans son travail. Elle … Avec deux doigts, elle ouvrait son sexe, frottant le gland avec celui-ci en bafouillant :

« C’est bon … Grand frère … J’y vais enfin … Grand frère … »

« Arrête … Arrête ça … Orié … Ce n’est pas … Je ne suis pas dans mon … »

Un hoquet … sûrement de bonheur … Et des filets de sang s’écoulèrent le long de la hampe du jeune homme alors qu’elle venait de l’enfoncer en elle. Les veines blanches disparurent totalement, la jeune femme prenant un rythme des plus rapides, la bouche grande ouverte. Un filet de bave, signe que son plaisir était intense, s’écoulait le long de sa bouche. Lui ? Il avait une main devant ses yeux, ne voulant pas montrer à sa sœur ou à quiconque ce qu’il venait de faire. Il … avait osé … Il avait osé le faire … avec celle qu’il considérait sa sœur. Avec une personne qu’il considérait de sa famille … et … Il venait de tromper Samus … finalement …

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